Eglise Ste Aubin

Par leur forme rectangulaire, ils appartiennent à l'architecture cistercienne. Le mur de la sacristie mesure en moyenne 1m,20 d'épaisseur et une façade ogivale ouvre encore le chœur. Le reste ne compte pas. La petite nef a été plafonnée en 1901. A noter une inscription commémorative de Jacques ROBERT 1623-1699 et de sa femme dame Marguerite JASU 1625-1678, bienfaiteurs et fabricien de l'église ( 1678 et 1699 ), et deux statues en pierre de la Vierge et de Saint Aubin.L'église fut remaniée en 1744, rétablissement de l'église et du cimetière, le 29 septembre 1745.

Pierre Tombale : Dans la nef : Cy gist Mre Jacques BONNETAT, marchand à PASILLY décédé le 21 octobre 1726, pries pour luy. Exhumation le 1 avril 1744.​

Bénédiction de la Cloche : Le 4 septembre 1828,la cloche de PASILLY sous l'invocation de SAINT CLAUDE et SAINTE ANNE a été bénie solennellement par Me Marcel RICHARD curé de NOYERS, à la sollicitation de Me PIERSON curé d'ESTIVEY ET PASILLY. Elle a pour parrain et marraine Claude JULIEN ex maire, marraine Madame Anne BEAU son épouse.

Biens d'église : Au registre de l'église déposé en mairie, à l'année 1692 se lit que l'église ​possédait 25 journaux ¾ de terre dont inventaire est fait.

Petit aparté :

C'est dans cette église que Mon Aïeule ( Jeanne Edmée QUEAU ) a été baptisée le 8 septembre 1715,
mariée le 9 janvier 1742 avec Claude BIDAUT. Témoins de mariage: Claude GUERRIN (parrain de la mariée) Claude MOREAU-Edmé QUEAU (1682-1742) père de la mariée.)

décédée le 7 janvier 1793

Inhumation de son père Edmé QUEAU ( 1682-1742) dans cette église le 8 août 1742.

Françoise DOBUS sa mère 1677-1755

Patron de la Paroisse: St Aubin

Fête le 01 Mars  Etymologie latine : Albinus, blanc

Évêque et confesseur. Originaire de Bretagne, il fut d'abord abbé de Nantilly, près de Saumur. Il devint évêque  d'Angers dont il est le patron céleste. Rayonnant de charité dans un monde barbare et cruel, il fut l'un des principaux promoteurs du troisième Concile d'Orléans, qui réforma l'Église franque avec une grande fermeté. Il sut se dresser devant l'injustice pour adoucir le sort des prisonniers et des malheureux. Il sut imposer le respect du mariage aux grands seigneurs qui, à l'époque mérovingienne, n'hésitaient pas à épouser leur soeur ou leur fille. Beaucoup d'évêques se taisaient par crainte. Il protesta et obtint gain de cause au Concile d'Orléans.